2string(25) "Les programmes solidaires"

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Les programmes solidaires

Construire 15 nouvelles citernes

Lieu: Haïti

L’ile de la Tortue, au large d’Haïti n’a pas de source. Construire des citernes est le seul moyen de donner accès à une eau saine et d’éloigner le choléra et d’autres maladies. Des centaines de citernes sont déjà réalisées. Des centaines restent à construire. Nous continuons cet effort dont l’efficacité est évidente : amélioration immédiate de la santé, et les enfants retournent à l’école et les potagers
prospèrent.

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Offrir l’accès à l’eau potable est une urgence !

En Haïti, la population est sous la menace du choléra, de la typhoïde et des infections gastro-intestinales bactériennes chroniques qui se transmettent par le contact avec les eaux souillées. L’une des conséquences de l’insalubrité de l’eau, dramatiques sur la santé des enfants, influe considérablement sur la fréquentation scolaire.

Le programme Citernes sur l’Ile de la Tortue

L’île de la Tortue, 37 km de longueur et 7 à 8 km de largeur, est située au nord-ouest d’Haïti. Elle s’étend d’est en ouest, culmine à 400 m au centre : c’est un dôme rocheux, dépourvu de rivière, sans puits possibles, sans nappe phréatique. L’eau provient de très rares sources situées à mi- pente sur le versant sud. Ces rares sources sont éloignées des zones habitées, difficiles d’accès, et le débit est très insuffisant pour la population. Les mares et les flaques laissées par les pluies tropicales sont utilisées par les habitants et les animaux, avec des  conséquences dramatiques.

Objectifs du programme

Des centaines de citernes ont déjà été construites au cours de 15 dernières années. L’objectif est de construire 25 nouvelles citernes pour recueillir l’eau de pluie afin d’assurer aux plus pauvres, les plus éloignés des sources, un accès à l’eau salubre dans des conditions sûres, abordables et durables. L’expérience montre que la santé des populations est vite améliorée, le choléra recule et les cas de typhoïde diminuent et les infections gastro-intestinales disparaissent.

Sauver des enfants de la dénutrition

Lieu: Madagascar

L’extrême pauvreté et l’ignorance sont à l’origine de la malnutrition, puis de la dénutrition de dizaines de milliers d’enfants après le sevrage et des désastres qui en résultent. Heureusement, il existe un moyen simple et si peu couteux de lutter. Nous poursuivons un programme de renutrition qui depuis 12 ans a sauvé 35 000 enfants. De nouveaux centres de renutrition sont créés et les parents apprennent à nourrir leurs enfant de façon équilibrée malgré leurs moyens tellement limités.

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Nous savons le faire. Trois semaines et 10 € : cet enfant est sauvé !

Chez un enfant dénutri, toutes les fonctions biologiques sont touchées le rendant vulnérable aux infections. Les risque graves de retard cognitifs et de handicaps physiques deviennent vite très graves allant jusqu’à l’issue fatale. La malnutrition touche 47% des enfants de moins de 3 ans à Madagascar et est responsable directement de près de 45 000 décès par an. La très grande pauvreté et l’inadaptation des pratiques alimentaires sont les causes de cette dramatique situation. Trop de riz, au détriment de nutriments riches en protéines.

On sait soigner ces enfants. C’est à notre portée. 10 € par enfant pour 3 semaines de
réalimentation !

Lancé, il y a dix ans, un programme de renutrition des enfants en bas âge associant la fourniture d'une farine enrichie, pendant 21 jours, à une éducation nutritionnelle des mères à l’aide des Nutricartes. Cette farine, fabriquée localement par une ONG française (GRET) a montré son efficacité. A ce jour, 30 000 enfants ont été concernés et sont sortis de la malnutrition.

L’évaluation du traitement :

une enquête de terrain réalisée deux ans après la sortie des centres de renutrition montre que 90% des enfants n’ont pas rechuté. Ces résultats sont attestés par une nutritionniste suisse rattachée à la faculté de médecine de Genève, spécialisée dans l’évaluation de programmes de développement.

L’inclusion scolaire des enfants sourds à Lomé

Lieu: Togo

Grâce une éducation adaptée, ces jeunes sourds auront accès à différentes formations professionnelles et universitaires ce qui leur permettra de se développer, de devenir des adultes autonomes et d’être bien intégrés socialement au terme d’une scolarité, primaire et secondaire. Ils bénéficient d’aides pédagogiques spécialisées, indispensables pour leur parcours d’études et pour leurs chances de réussites aux examens. Favoriser particulièrement l’accès des filles au lycée.

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L’objectif global

Permettre à des jeunes sourds d’effectuer leur scolarité, primaire et secondaire, en leur fournissant les aides pédagogiques spécialisées, indispensables pour leur parcours d’études et pour leurs chances de réussites aux examens. Favoriser particulièrement l’accès des filles au lycée.

Un formidable impact pour les jeunes sourds

Grâce une éducation adaptée, ces jeunes sourds auront accès à différentes formations professionnelles et universitaires. Ils pourront se développer, de devenir des adultes autonomes et d’être bien intégrés socialement.

Ces bénéfices ont été vérifiés en France au cours des 30 dernières années : le dépistage et le diagnostic précoce, le développement de la langue des signes, l’aide à la lecture labiale, l’amélioration des appareils auditifs, l’implant cochléaire et les avancées pédagogiques ont transformé les perspectives des jeunes sourds ; l’accès à l’université et à de nombreux secteurs professionnels leur est maintenant possible.

Les élèves et l’équipe enseignante

Du primaire à la fin du secondaire, 220 élèves environ seront suivis en 2023 par une équipe enseignante composée de 11 personnes, de deux orthophonistes et de 6 intervenants en soutien scolaire. Coline en Ré soutient et participera  à  ce programme exceptionnel suivi sur place et administré par l’Appel pour 28 000 euros au cours de l’année 2023.

Offrir de vraies écoles à des centaines d’enfants

Lieu: Haïti

L’accès pour tous les enfants à la scolarité est avec l’accès à l’eau et à la nourriture un objectif constant et essentiel. L’école primaire est le moyen principal pour qu’à terme la spirale de la pauvreté soit rompue. Les élèves affluent et les écoles de villages doivent être rénovées, agrandies, reconstruites et équipées. De nouveaux instituteurs doivent être embauchés.

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Offrir une vraie école à 10 000 enfants !

Nous aimons cette parole de Nelson Mandela. « L’école est l’arme la plus puissante que nous puissions utiliser pour changer le monde ». L’école est aussi l’arme la plus puissante pour rompre de cycle de la pauvreté et de toutes ses conséquences. Au calme, sur l’Ile de la Tortue au large du nord-ouest d’Haïti, 10 000 enfants scolarisés en primaire ont des classes surchargées, des maitres en nombre insuffisants, des équipements délabrés et des murs et toits d’écoles très en dessous du rudimentaire. Ces enfants méritent mieux pour accéder plus tard au secondaire dans de bonnes conditions.

Le programme Rénover et équiper

Sur les 50 écoles primaires de l’Ile de la Tortue, au moins 40 d’entre-elles nécessitent des travaux de rénovation ou d’agrandissement. Le Maire de l’Ile et l’association haïtienne ADETOM sont en responsabilité pour déterminer les travaux les plus urgents afin de faciliter au mieux l’accès décent et sécurisé à tous les enfants dès 5 à 6 ans des villages les plus isolés et ainsi d’assurer leur avenir. Ici le toit à changer, là des murs à consolider ou une citerne et une douche, là encore une classe supplémentaire à construire.

Instituteurs, équipements et bourses

Plus les citernes construites éliminent les maladies grâce à l’eau saine, plus les enfants retournent à l’école. Construire et rénover ne suffit pas, des instituteurs manquent. le salaire d’un instituteur est de 90 € par mois. Et une classe sans équipement suffisant, tableau noir, sièges et tables, cahiers, etc. ne permet pas un fonctionnement efficace. Enfin, certaines familles doivent être aidées pour acheter l’uniforme obligatoire dans certaines écoles de village. En 2023, nous consacrerons 10 000 euros aux travaux urgents de rénovation et au salaire de deux instituteurs.

L’école de l’excellence chez les moins favorisés

Lieu: Congo

« L’école est l’arme la plus puissante que nous puissions utiliser pour changer le monde » Nelson Mandela.

Nous poursuivons le soutien à l’Ecole Associative Nelson Mandela à Pointe Noire. Depuis 2012, elle prouve que l’excellence éducative est aussi pour les pauvres quand les équipes éducatives sont aidées de façon résolue et continue. Nous allons aider à la pérennité de l’école, à la construction de nouvelles classes, à son autonomie financière, à son équipement, et à offrir des bourses pour qu’aucun enfant ne soit interrompu dans ses efforts.

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« L’école est l’arme la plus puissante que nous puissions utiliser pour changer
le monde » Nelson Mandela.
Nous poursuivons le soutien à l’école XYZ à Pointe Noire. Depuis 2012, elle prouve que l’excellence éducative est aussi pour les pauvres quand les équipes éducatives sont aidées de façon résolue et continue.

Exemplaire : 100% de réussite à l’examen de fin de CM2, redoublement négligeable, une élève de CM2 qui reçoit de la main du Ministre de l’Education le diplôme de meilleure élève de tout le pays, cela s’explique par l’ambition du plein épanouissement de l’enfant, du développement de ses capacités intellectuelles, physiques, affectives, relationnelles et artistiques, de la maîtrise des connaissances et compétences de la maternelle au collège.

Nous allons aider à la pérennité de l’école, à son autonomie financière, à la construction de nouvelles classes, participer à l’acquisition d’outils pédagogiques, manuels, ordinateurs, etc. et offrir des bourses pour que pas un enfant ne soit interrompu dans ses efforts.

Vos dons participerons au budget de 30 000 euros nécessaire en 2023 et nous vous rendrons compte.

Donner un toit à des familles

Lieu: Rwanda

Permettre à des enfants et des familles en situation de grande vulnérabilité d’accéder à un habitat décent grâce à la construction ou à la réhabilitation de maisons familiales. Ce programme vient compléter les actions menées dans la région : accès à l’eau potable, parrainage d’orphelins, aide à la scolarisation, lutte contre la malnutrition, construction ou remise en état de systèmes d’adduction d’eau.

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Améliorer l’habitat pour des enfants et des familles vulnérables

Permettre à des enfants d’avoir un toit répond à un besoin vital, conformément à la Déclaration Internationale des Droits de l’Enfant. Ce programme contribue très positivement à l’amélioration des conditions sanitaires, sociales et éducatives de ces enfants.

L’objectif

Permettre à des enfants et des familles en situation de grande vulnérabilité d’accéder à un habitat décent grâce à la construction ou à la réhabilitation de maisons familiales. Ce programme vient compléter plusieurs actions conduites dans la région : accès à l’eau potable, santé de la mère et du nouveau-né, parrainage d’orphelins, création et fonctionnement d’une bibliothèque ludothèque, lutte contre la malnutrition, construction ou remise en état de systèmes d’adduction d’eau. Bien que les événements du génocide de 1994 se soient éloignés, et après la pandémie du sida qui a également fortement touché ce pays, la situation de nombreux enfants reste très préoccupante au Rwanda. Il s’agit d’orphelins de père, ou de père et de mère, recueillis par des grands parents ou par des familles très pauvres, elles- mêmes sans ressources, voire des enfants isolés ou vivant en groupe appelés « chef de ménage ». En 2020, des inondations catastrophiques dans les collines du Nord ont souligné la précarité de certaines habitations et l’urgente nécessité des travaux à faire.

Le programme 2023 : 15 nouvelles maisons

Il s’agit de continuer l’action entreprise depuis 2006 : construire, en 2023, 15 nouvelles maisons familiales et améliorer l’accès à l’eau potable. Ces maisons seront situées dans les secteurs (communes) de Byumba et Kyiombé (District de Gicumbi) et de Muhura (District de Gatsibo).
 
Coline en Ré participera en 2023 à ce programme à hauteur de 29 000 euros aux côtés de l’Appel, de la Fondation de France et de la Fondation Abbé Pierre.

Ensenada, apprendre pour échapper au bidonville

Lieu: Pérou

Soutenir l’association partenaire franco-péruvienne Mano a Mano, créée en 1994 avec pour objectif principal d’améliorer les conditions de vie des habitants du bidonville. Les actions de l’association sont particulièrement centrées sur l’éducation des enfants et des  adolescents du bidonville. 1 500 enfants vont à l’école, ils bénéficient d’un soutien scolaire et d’un accompagnement social, grâce à la formation de jeunes animateurs locaux avec pour objectif la rupture avec le cycle de la pauvreté par l’éducation.

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Soutenir 1500 enfants

L’Ensenada est un bidonville de 40 000 habitants situé sur le flanc des collines désertiques du Nord de Lima. Les habitants de la Ensenada, originaires des Andes, souffrent de discriminations multiples. Peu alphabétisés, ils occupent des emplois peu rémunérés. Les difficultés se sont amplifiées avec la pandémie.

Nous aidons les enfants de ces quartiers à reprendre la scolarité qui leur permettra de prendre pied dans la société et d’accéder à un emploi. Notre partenaire Mano a mano, à travers le soutien scolaire, travaille avec les enfants et les familles et fait de la bibliothèque Micaela Bastidas qu’ils ont construit un réel lieu d’apprentissage et de communication grâce à ses animateurs qui voit 1500 enfants par an.

Un lieu d’apprentissage :

Des animateurs eux-mêmes issus du bidonville assurant le soutien scolaire pendant toute la période scolaire en dehors de leurs heures propres de scolarité. Le suivi des enfants présentant des difficultés : Des animateurs assureront des visites à domicile pour les enfants présentant des problèmes sociaux ou d’apprentissage, afin d’orienter la famille vers les structures adaptées (aide médicale, psychologique, aide légale ou aide pour les familles souffrant de violence). Ce travail de suivi sera fait en coordination avec  l’infirmière de l’association et la psychologue.

L’animation du centre aéré pendant les vacances scolaires d’été :

Les animateurs assurent soutien scolaire en calcul et lecture, couplé à des activités culturelles et sportives, pour Un budget de 17 000 euros en 2023 permettra de réaliser ce programme grâce 4 animateurs boursiers et 2 animateurs temps plein.